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Numéro 61 - 07 septembre 2016
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2015 2014 2013 2012

du 15 au 29 octobre, à Nice

Catalogue du Festival des UdM 2013

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Reportage Saint Narcisse 2013

Dans le JT de France 3 Côte d'Azur, petit reportage sur l'ouverture du Festival de la Saint-Narcisse du 15 au 29 octobre 2013.
(vers 14 min 40 sec) On parle de NOUS, de VOUS !

http://cote-d-azur.france3.fr/emissions/jt-1920-cote-d-azur

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La Saint Narcisse 2013 de l'Artocrate Web Fanzine

http://www.lartocrate.com/

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Ma Fête de la Saint Narcisse 2013

(photo : installation sonore de Jacques Schaeller, l'Atelier le Salon, Nice Festival de la Saint Narcisse, photo de Alchy Alex)

 

Nice le 29 octobre, récit d'une soirée mémorable !

Avec mon frère David nous avions passé la journée à travailler. Vers 18h00, 10 minutes avant de partir, nous lisons le programme, mettons toutes les adresses sur notre téléphone (l'année prochaine il faudra penser à faire une page spéciale pour cliquer directement) et nous montons sur le scooter de David.

Il pleut. Les rues de Nice sont trempées, glissantes et pleine de lumière. Je suis derrière mon petit frère chéri qui accélère n'importe comment et se faufile entre les voitures. Je suis heureux d'être avec lui.

 

18h30 LA FRICHE

Notre première étape est la Friche. Nous nous garons mais impossible de trouver l'entrée qui est mal indiquée au possible. Grâce à une jeune fille qui attends devant la porte nous descendons les escaliers et nous sommes accueillis par un niçois fort sympathique qui nous indique que "sont fils n'est pas encore arrivé". Nous visitons la belle exposition de collages, de toiles de femmes énormes et de photos.
Nous apercevons une jeune femme qui peint sur une toile accrochée au mur où elle a projeté un bâtiment que je ne connais pas. Nous n'osons pas la déranger.
Alors que sortions nous croisons le fiston, maître des lieux qui nous explique la philosophie de la Friche. C'est vraiment un garçon courageux.

 

19h00 VERONIQUE ROUSSIAUX

Après avoir tourné un peu dans la quartier nous arrivons au 17 Avenue Buenos Ayres dans une appartement trés beau. Une dame fort sympathique nous ouvre en nous disant "C'est là". Passé le premier moment de gène nous discutons une bonne heure avec Véronique de son art du modelage qui ressemblent aux sculptures de Braques ou Picasso et de sa passion nouvelle pour le verre. Elle nous offre, en plus de verres de vin, des bagues pour nos filles ce qui est vraiment très gentil. Nous repartons charmés.

 

19h45 APPARTEMENT 3

Nous y sommes accueillis d'un gentil sourire et d'un verre de vin (encore). Des gens sont assis mais personne ne dit rien. Je parle un peu fort, je dis ces conneries bref j'étale ma culture (de pomme de terre) car l'ambiance est un peu en retrait. Tous attendaient la projection de Sophie Perrone et la performance de la Compagnie Antipodes. Nous disons que nous reviendrons.

 

20h00 GARAGE 103

Nous filons sur le scooter direction le garage 103. Bien entendu le concert de The Enrique Flauta est terminé mais nous sommes reçu par Olivier Garcin qui nous explique son accrochage de sa collection personnelle de papiers de boucherie. Le gars est éminemment sympathique, on trinque et on rigole avec lui de son art.


Un garçon timide se tient à l'écart. Je l'apostrophe et il commence par un discours théorique comme aiment les artistes. Au bout d'un moment il se met à l'aise et nous explique son travail qui est proche de l'imprimerie. L'humour est partout présent dans son œuvre. Ses jeux de mots sont hilarant. J'ai beaucoup aimé discuté avec Gabriel Fabre et j'espère le revoir bientôt.


 

20h40 VIN DE TERRE

Nous entrons dans la cave de Vin de Terre. Des gens sont attablés et le groupe The Enrique Flauta joue (marrant car David connaissait le guitariste) ! Nous buvons... un verre de vin  ( !) et discutons avec le patron. Je demande qui a fait les photos accrochées et je tombe sur un petit brin de fille assez incroyable : Roxane Petitier.
Notre discussion fut courte mais intense. Comment lui dire que je suis amoureux de son travail sur Vermeer ? Ben je bafouille et je dis des banalités.
Son énergie, son sourire, son regard sont en adéquation avec ses photos. Juste Wow. En espérant elle aussi avoir de temps de discuter plus longuement. Trés belle rencontre.

21h20 LA ZONME

Mince on a manqué la performance Appartement 3 !
Nous rejoignons notre ami Jean Marc Vendetti qui est ma plus belle rencontre de cette année. C'est un photographe qui fait des images aussi belles qu'il est drôle, intelligent et le compagnon idéal de soirées gastronomiques et raffinées (avinées aussi).

Dès que nous nous voyons la sauce prends, nous sommes en roue libre, et le contraste est flagrant quand nous rentrons dans une Zonmé complètement anesthésiée ! On dirait que tout le monde dort. Je vois Gérôme AVECUNGE qui finit justement un morceau à la guitare. Je gueule "Et c'est quand que tu nous fais un tour de magie". Il me voit, sourit et lève son immense carcasse. Il prends un paquet de cartes et commence un tour dont il a le secret puis un second en me tirant par la main sur scène. On discute, c'est chouette.

Une jeune fille nous demande notre email et notre signature pour sauver les marronniers. Avec David et Jean Marc on lui fait répéter plein de fois le mot marronnier (en journalisme c'est un sujet récurent, comme par exemple Noel). On est taquins. Nous montons dans les étages et regardons les œuvres accrochées dont celles de Sonia Grdovic. Jean Marc donne son avis éclairé et si drôle. C'est la fête, la soirée s'annonce sous les meilleurs hospices. En descendant je bafouille quelques mots avec Chinaski dont nous avons raté le concert (pfff en plus je suis jamais à l'aise avec les gens que j'aime).

22h00 HI HOTEL

Nous arrivons pendant le concert de Ninety's Story qui est vraiment chouette mais  je n'ai pas le temps de vraiment les écouter, j'ai soif de discuter. Le HI Hôtel est vraiment extraordinaire avec ses lumières colorées si pop.

J'aperçois un garçon fort sympathique avec qui j'avais passé la soirée à parler jeux deux nuits avant et sa compagne, c'est le web fanzine L'Artocrate, nos neuveux ! Alors que je me retourne je reconnais MC di Matino-Dhoste. Elle me tombe directement dans les bras comme si elle nous connaissait depuis 10 ans. Encore une belle rencontre, la photo de nous 3 réalisée par un Jean Marc au meilleur de sa forme en témoigne.

 

J'appelle Sonia car nous ne l'avons pas encore vue de la soirée. Elle est à la Fondation René d'Azur.

 

23h00 FONDATION RENE D'AZUR

Après une ballade en scooter nous arrivons à la Fondation.

Nous retrouvons enfin Sonia. Elle est heureuse et ça fait plaisir à voir. Elle m'introduit auprès d'un personnage incroyable et maître des lieux, Gilbert CATY. Le courant passe instantanément et nous rigolons beaucoup. Gilbert m'explique avec beaucoup de dérision son travail, c'est vraiment un bon gars.

Je retrouve David et Jean Marc qui viennent de faire le tour de l'expo accompagné de Philippe M., un artiste de la collection permanente. Alors que nous nous retrouvons, une jeune femme nous saute dessus et nous propose de faire (à nouveau) le tour de l'exposition. C'est la sémillante Vérana COSTA, artiste, avec qui nous allons passer deux heures à faire des jeux de mots, à rire, à faire des photos et à discuter de tout et de rien.

L'énergie entre nous 4 est palpable et nous nous amusons beaucoup, toujours avec bienveillance, des œuvres exposées. Vérana est rayonnante et nous explique chaque œuvre, elle nous fait même une mini performance de sieste artistique. Son explication est toujours claire et teintée d'humour. Une bien belle rencontre (encore une).

 

Après le départ de Jean-Marc, nous passons un bonne demi heure à rigoler avec Gilbert Caty et Vérana, et nous rentrons chez David.

 

1h30 CHEZ DAVID

Vers 1h30 Sonia nous rejoint avec son compagnon et nous discutons, rigolons, mangeons des pâtes super bonnes en buvant une bonne bouteille.
On se quitte vers 3h00 du mat bien heureux du souvenir de toutes ses rencontres fortuites, artistiques, rigolotes, dans tous ces lieux si divers.

Merci à Sonia Grdovic pour sa merveilleuse organisation !

 

 

1 commentaires
Le 2013-11-20 17:12:07 par karla Paslac
Merci, The Kingdom ! Absente au moment du parcours, votre retranscription tombait à pic. Sensation de vivre le moment, les commentaires en plus. Envie de rencontrer certains artistes. Un souffle de liberté et des rires. Le parcours reparcouru par un parcourant, c'est aussi une petite œuvre d'art...

Plasticiens et musiciens ensemble !

Les artistes ont honoré Saint Narcisse le 29 octobre à Nice autour au long d’un parcours urbain réunissant pas moins de 16 lieux où les divers courants musicaux que compte notre région se sont  également illustrés, durant les soirées qui ont ponctué le Festival.

Le son bariolé, oscillant entre joyeux bordel, cirque rock et chansons à textes de Barizone Comedia Orchestra www.facebook.com/pages/Barizone-Comedia a donné le ton en cotoyant harmonieusement et dans le meilleur esprit qui soit, l’univers fantasmagorique et poétique de Benoit et La Lune www.facebook.com/benoitetlalune lors du concert inaugural du 15 octobre à la Zonmé. Où se sont également produits le 18 octobre, dans le cadre de la soirée « Flower Power », A.JAM, www.facebook.com/ajamnice,  jeune trio surdoué qui a su mélanger leur répertoire avec des titres qui ont fait le buzz des soirées disco ! Ces trois là nous ont juste bluffés, toujours avec une aisance époustouflante !

 

 Le 23 octobre ce fut au tour de la « soirée des Maetros » composée de musiciens accomplis et virtuoses, avec Christopher Brocardo www.facebook.com/radozai et Bart no Art, www.facebook.com/bart.noart notamment, qui nous ont concocté un répertoire spécial festival des Urbains de Minuit.

Puis ce fut au tour de Jean-Christophe Bournine, alias Meerakhaazan www.facebook.com/merakhaazan qui fait résonner sa contrebasse comme personne et enfin de Clément Althaus, www.facebook.com/clement.althaus artiste multi facettes, qui avec Harmony Gomila www.facebook.com/harmony.gomila ont distillé des chansons très personnelles et bien énergiques !

Pour le parcours de clôture le 29, la musique était encore au rendez-vous à la Zonmé avec Chinaski. www.facebook.com/chinaski.hank. Chez Bertrand de Vin de Terre, STF www.facebook.com/stephane.sebbanbebert nous a embarqués avec ses deux compères dans un univers bien connu et d’anthologie, égrenant quelques uns des titres du groupe phare de nos jeunes années « Téléphone »… Où une Roxane Petitier www.facebook.com/roxanepetitierphoto très délurée pour l’occasion, s’est déchainée,  nous livrant une performance échevelée sur « La Bombe Humaine » notamment, déclenchant des tonnerres d’applaudissements et des fous rires en cascade !

Et pendant ce temps, à la Cave Romagnan  s'ébouriffaient Johanna Piraino (chant et accordeon) et Ruth Levy-Benseft (contrebasse) dans une Echappée belle titre de leur album http://www.lesurbainsdeminuit.fr/coups-de-coeur-et-autres-coups/663

Et pendant ce temps, au Garage 103 se déployait la douce chaleur du trio The Enrique Flauta http://www.lesurbainsdeminuit.fr/portraits-des-urbains?action=detail&sp_id=COM1407b53e972de8c1e68146dcbaff85880:

Et pendant ce temps au Ketje s'amusait Claire Deval, ses Titi's et son public.

C’est ensuite au Hi Hotel qu’il fallait être pour ne pas manquer la prestation de nos autres trois jeunes surdoués du rock électro : Ninety’s Story ! www.facebook.com/NinetysStory .  Ces 3 « bambins » experts en sons innovants et au sourire charmeur, ont emballé un public venu en nombre les soutenir ou les découvrir !

Ce sont enfin  les prolifiques acteurs de la team Washing  MaJazz  www.facebook.com/pages/Washing-Majazzz avec Mister Fuzz, www.facebook.com/misterfuzz et Cocoa www.rider-radio.com/cocoa-get-down-on-it qui ont aux platines, conclu cette soirée haute en couleurs, en diffusant des rythmes et vibes bien dansants, pour le plus grand plaisir des Urbains qui se sont attardés pour l’occasion !

Alors, encore un grand merci à vous tous, merci pour votre disponibilité sans faille, votre motivation et votre énergie !

Merci à Alchy Alex www.facebook.com/alchy, à Marie-Annick Toucourt www.facebook.com/mjeunest pour leurs photos et à Gérôme Avecungé www.facebook.com/gerome.avecunge pour ses facéties opportunes.

 

Rendez-vous pour la prochaine édition du Festival des Urbains de Minuit, mais d’ici là, suivez leur actualité, sortez et soutenez les artistes locaux par votre présence !

 

Chapeau bas à : Alexandre Lamia et ses complices (Marc, Frantz, Didier, Fred), Benoit Berrou, Manu Manolis et Bruno Desbiolles de Benoît et La Lune, Jo Schutte, Adam Taride et Andreas Salonn d’AJAM, Christopher Brocardo, Bart No Art, Jean-Christophe Bournine, Clément Althaus, Harmony Gomila, Jean-Louis Chinaski ; David Bouhanna, Florian Hernandez, Guillaume Adamo pour Ninety’s Story ;  Antoine Cabal, Fred Faupin et Hérvé Gandolfo pour Mister Fuzz, CocoA et Washing Majazz.

Merci à Pascal Cadaré de la Zonmé, Perla Gonzales de l'Atelier Le Salon, Bertrand de Vin de Terre, Laurence Shukor du Hi Hotel…..

 

MC di Martino-Dhoste

@mcziczac

Mots clés : #Saint Narcisse
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Festival de la Saint Narcisse : le Dossier de Presse


Télécharger le dossier de presse en cliquant ici ou sur l'image ci-dessous

 

 

Dans le JT de France 3 Côte d'Azur, petit reportage sur l'ouverture du Festival de la Saint-Narcisse du 15 au 29 octobre 2013.
(vers 14 min 40 sec) On parle de NOUS, de VOUS !

http://cote-d-azur.france3.fr/emissions/jt-1920-cote-d-azur

Dans Culturebox aussi !

http://culturebox.francetvinfo.fr/saint-narcisse-a-nice-un-festival-pour-celebrer-le-moi-et-le-surmoi-artistique-143801

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Festival de la Saint Narcisse : le parcours Urbain

Le 29 octobre c'est la Saint Narcisse et c'est à Nice ! des concerts des expositions des lectures des performances à droite à gauche d'aqui et d'aia presque partout !

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Le journal intime de Sophie Taam : FIN

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Le journal intime de Sophie Taam : 29 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 28 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 27 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 26 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 25 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 24 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 23 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 22 -10 -13

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Le journal intime de Sophie Taam : 21 -10 -13

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Le 2013-10-29 08:08:30 par maryline
et TOOTAAM aussi non?
ahahhahahha!!!!;)

Le Journal intime de Sophie Taam : 20 -10 -13

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Le Journal intime de Sophie Taam : 19 - 10 -13

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Le Journal Intime de Sophie Taam : 18 - 10 - 13

3 commentaires
Le 2013-10-18 22:26:56 par vymma
Vous êtes sévère : ce n'est pas un échec puisque vous êtes lu et que vos écrits inter-agissent forcément en pensées avec ceux qui vous lisent. N'attendez rien, peu importe le "résultat". Un ami dit que : "rien ne sert d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer". Votre "journal bis" est original au 1er sens du terme et fidèle à Narcisse que les Urbains souhaitent fêter, alors continuer oui,et soyez sûre qu'il y a en effet une interdépendance entre les actes et les mots de l'un ou de l'une sur autrui.
Le 0000-00-00 00:00:00 par
l idée du journal j adore..... sans parler d Anais Nin dont il est impossible de se comparer.... par contre la lecture d'un journal doit être aussi fluide et reelle que son écriture l'est au moment ou les mots sortent de façon instinctive, et moi j'ai un peu de mal à m 'attarder sur des mots du coup l'écriture manuelle qui est une bonne idée m'empêche quand même de m 'amuser à lire....
Le 2013-10-28 10:42:34 par sophie taam
Merci pour vos commentaires encourageants, je ne les avais pas vus avant... oui, bien sûr, cette aventure est expérimentale et, à ce titre, ne peut être un échec complet ! Quant à l'écriture manuelle, oui, j'y tiens, ça fait partie du journal.. venez m'écouter le 29 octobre au Salon à 19h30, j'espère que ce sera plus fluide à l'oral. Merci encore....

A.JAM : un concentré d'énergie !

Inclassables, surtout vu leur jeune âge, ces 3 là assurent avec aisance (ils affichent à peine plus de 45 ans à eux 3 ...)  !

Encore des petits prodiges issus de la classe Musiques Actuelles du CNR de Nice, A.JAM inspiré par les univers jazz, néo soul rap et electro, est une jeune formation locale qui ne cesse de faire parler d’elle et bien au-delà du microcosme des ZicZAc niçois !

Composé de la chanteuse qui nous dévoile un timbre de voix hors du commun, Josephine Schütte, d'Adam Taride, le batteur et du bassiste Andréas Salonn, le groupe A.JAM distille sur scène avec énergie et  fraicheur,  un répertoire surprenant de maturité et d'eclectisme, dans la lignée de leurs aînés, les survitaminés Hyphen Hyphen. Ils puisent leur inspiration entre les sons d'Erykah Badu, Everything Everything, Jay Z, Modeselektor, Pharrell, ou bien encore The Roots.

A.JAM nous entraîne dans un univers new wave teinté de groove et de quelques touches hip hop avec des performances scèniques remarquables et très professionnelles. Ce jeu de scène étonnant ajouté à leur talent leur a valu de remporter le tremplin La Ruche et Les Class'Eurock 2013 ! Ils assurent, alternant premières parties de concerts tels Imany, une tournée improbable de fin d'été aux Pays-Bas, en Islande ou en écumant toutes les scènes du sud. Ils se sont illustrés plus près de chez nous, à la fête de la musique à Aix en Provence ou dernièrement en ouvrant le bal avec un concert bien rodé, lors de la Fête du Port de Nice. En ce moment, ils préparent d'arrache pied leur premier EP que l'on attend avec impatience !


Pour le 2ème festival des Urbains et la St-Narcisse, ils seront en concert pour la soirée "GirlPower" le 18 octobre à la Zonmé.


On peut aussi retrouver A.JAM :

 

https://www.facebook.com/ajamnice

http://www.wegotalent.com/a-jam

 

par MC ZicZac

 

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Le Journal intime de Sophie Taam : 17 - 10 - 13

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Festival de la Saint Narcisse : les expositions

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Le Journal intime de Sophie Taam : 16 - 10 -13

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Le Journal intime de Sophie Taam : 15 - 10 -13

2 commentaires
Le 2013-10-16 09:27:31 par vymma
et pourquoi ne pas considérer la maladie comme simple expression de soi ? Ainsi, la rédaction d'un journal peut, en effet, devenir chronique telle une maladie, mais nécessaire : le besoin d'être. L'existence serait alors l'évolution de stades successifs qui, selon leur expression, passeraient et se transformeraient ou non;
Le 0000-00-00 00:00:00 par fred
Canguilhem (c'est comme ça que ça s'écrit ?) Soutenait la thèse que
La maladie était un état que seuls les gens en bonne santé peuvent vivre, sous entendant que la fin de la maladie est la guérison. Vivre la maladie c'est être vivant donc être malade c'est faire l'expérience de la vie

Le Journal intime de Sophie Taam : 14 - 10 - 13

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Barizone Comedia Orchestra : à découvrir absolument !

Univers réjouissant et inclassable de 5 musiciens portés par la même passion : la musique festive et tourbillonnante !

Depuis dix ans, Alex Lamia et ses compères traversent avec une vision bien particulière le paysage des groupes atypiques, oscillant entre « joyeux bordel », cirque rock et chansons à textes.

D’où vient le Barizone Comedia Orchestra ?

C'est d'abord un auteur-compositeur-interprète, Alexandre Lamia, fondateur du groupe en 2002. Un garçon issu du rock, érudit mais pas intello, qui a la gourmandise des mots et l'art de les faire sonner. C'est aussi la rencontre de cinq musiciens accomplis, toujours prompts à relever le défi de mettre en forme les chansons d'Alex, de les scénariser pour leur donner l'emphase « cinématographique » qui caractérise la formation aujourd'hui.

Alex trimballe magistralement son goût pour les mots, les auteurs, la culture latine et revisite avec brio et finesse, les courants musicaux les plus divers. Sa passion pour le tango est profonde : il sait se met en scène dans une atmosphère parfois légère, parfois plus sombre voire complexe.

Catalogués à leurs débuts parmi les groupes « fanfares » de la scène festive hexagonale, les Barizone voguent désormais à des encablures de là, dans un univers qui n'a pour limite que leur créativité. Les chansons, accrocheuses refusent le calibrage radio pour s'ébattre dans une variété de styles, une explosion de couleurs et d'ambiances qui n'oublient jamais de rendre hommage aux origines méditerranéennes du groupe: valse métal (Don Pepino, chantée en sicilien), balade écorchée (Tabac), reggae ambiant (Cogito ergo sum), rythm and blues (J'n'ai jamais su), tango rock (Tanguero) et même opérette trash (le jubilatoire Arlequino, hommage déjanté à la Comedia Dell’ Arte).

Mines (faussement) patibulaires sur costards mafieux de série B, les Barizone dévoilent à la scène une belle énergie -ils viennent tous du rock et cela s'entend- alternant malicieusement tableaux intimistes, ambiances pesantes et déflagrations sonores dans un spectacle qui transcende le simple concert.

Le nouvel album, en préparation, nourri de cette dimension scénique, se veut un témoignage de l'évolution artistique de la formation, une « photographie » pour fêter comme il se doit dix ans d'activisme musical.

Prix du jury professionnel à l'issue de la finale nationale de l'édition 2013 du Tremplin « Zic Me Up » au mois de juin dernier à Paris, ils se sont produits au Trabendo.  Barizone Comedia Orchestra reprend une nouvelle fois la route cet été en participant aux Estivales du Conseil Général des Alpes Maritimes.

Pour ma part, découvrir Barizone, ce fut en soi une véritable aventure, une découverte improbable : on ne sort pas tout à fait indemme de cet univers étrange peuplé de personnages un rien inquiétant, un peu mafiosi… C’est un peu comme être immergé l’espace d’un instant dans un univers cinématographique qui fait la part belle aux gueules des années folles dans une atmosphère ténébreuse et théâtrale … Cette vibration unique, c’est le voyage envoûtant et irrésistible que nous propose le Barizone !

Après le 9 juillet à Bonson, ils seront en concert (gratuit) le 5 août à Mandelieu La Napoule et le 9 août à Biot dans le cadre des Estivales du CG.

Franchement, venez sans modération tenter l'expérience ...

Propos recueillis par M.C. di Martino-Dhoste @Mcziczac

 

Alexandre Lamia : chant, guitare
Didier Houiller : contrebasse électrique
François « Frantz » Kreuz : trompette, chorégraphies
Frédéric Alavena : claviers, samples, guitare
Jérémie Boumendil : batterie
Marc « LeShark » Piola-Caselli : guitare

 

www.barizone.com
http://video.mytaratata.com/video/iLyROoafZlWF.html
http://www.facebook.com/pages/Barizone-Comedia

Mc Martino Dhoste, aux Urbains de Minuit

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1ère Conférence de presse des Urbains

Et le grand jour c'est ce mardi 15 octobre pour la Saint Narcisse avec Les Urbains de Minuit!

Une conférence de presse exemplaire au Hi Hôtel puisqu'il y avait à boire et à manger!

Mais disons l'essentiel. Les Urbains de Minuit ce sont des gens urbains (les amis des champêtres mais en ville) qui ont de l'art à partager. Ce sont des gens qui croient en ce qu'ils font et qui se connaissent assez pour avoir un grand projet ensemble : montrer qu'ici l'art est vivant.

Tout ceci va débuter à La Zonmé le mardi 15 à 19h où quelques 30 artistes seront exposés sur 3 étages incluant l'Atelier Le Salon.

Voilà en tout cas une belle manière ludique et amusante de sortir du cadre des vernissages habituels où il y aura 1000 choses à voir et écouter. Pas le temps de s'ennuyer!

Venez nombreux pour ce second évènement de la saint Narcisse par les Urbains de Minuit, c'est toute la ville qui se donne rendez-vous et c'est unique.

Pour l'histoire, Narcisse est ce personnage de la mythologie qui habite chaque créateur, chaque artiste, chaque individu de sa légende et qui nous appelle à progresser pour avoir conscience des autres et finalement partager. Nécessaire car il est à l'origine du regard amoureux et central que porte l'artiste sur sa création, incontournable car c'est en le dépassant qu'il se donne et reçoit.

Festival de la Saint Narcisse : l'Ouverture ce mardi 15 octobre à 19h à la Zonmé.

Photos Alchy, Keskon Fabrique

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NINETY'S STORY : jeunes et bons à la fois !

NINETY’S STORY : une pépite musicale à découvrir pour la clôture du Festival des Urbains !

On ne le répétera jamais assez mais : Nice est une pépinière de talents dans tous les domaines artistiques et notamment dans les musiques actuelles.  Issus du conservatoire de région de Nice, ces 3 là sont, malgré leur jeune âge,  étonnants de maturité et de bon gout, spécialement dans leur choix  musicaux.

Ninety's Story, c’est l’histoire de ces « gamins » nés dans la seconde partie des années 90 :  Florian, 17 ans (Guitare/Chant), Guillaume, 16 ans (Synthé/ Samples/Chant) et David, 20 ans (Batterie/Basse/Chant), un trio de bambins "touche à tout", qui proposent un univers Electro/Pop/Rock frais et novateur, tout en restant dans l'air du temps. Une complicité à toute épreuve qui tient son inspiration d'artistes tels que : James Blake, Metronomy ou encore Local Natives. Leur objectif serait d'atteindre la créativité de ces derniers, pemière source de motivation  dans leur travail.

Après de nombreux concerts et tremplins, les  généreux et souriants Ninety's se sont constitués un public varié, enthousiaste et chaleureux grâce a leur énergie et leurs performances étonnantes sur scène. C'est aussi pour satisfaire leur cher public qu'ils désirent progresser et partager davantage leurs sonorités inventives, harmonieuses et puissantes, afin que leur passion commune devienne une œuvre concrète.

Sous le charme, leurs balades nous font voyager dans un univers rock électro indé, jouant tour à tour d’une pléïade d’instruments. Cités récemment sur le Mouv’ comme : « Un groupe de niçois qui monte dans la lignée de leur jeunes ainés GRIEFJOY ou HYPHEN HYPHEN ». On croit donc en l’avenir de nos joyeux compères !

Après un EP réussi sorti avant l'été, ils sont déjà en préparation du second et s'activent sur de nombreux projets ... A suivre de près donc !

Prochain rendez-vous à l’occasion du  festival des Urbains de Minuit :  ils seront présents le 29 octobre lors de la clôture au HI HOTEL en compagnie d’autres valeureux musiciens azuréens :  Les Washing Majazz.

https://www.facebook.com/NinetysStory

 http://soundcloud.com/ninetystory

 

MC Martino Dhoste aux Urbains de Minuit

 

 

Par MC ZicZac

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Le Journal intime de Sophie Taam

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Le 2013-10-10 07:30:06 par laulasud
J'ai hâte de lire ça.

Benoît et La Lune : sonorités intergalactiques

Quand on pénètre dans l’univers alternatif rock-folk de Benoît Berrou, on entre de plein pied dans la magie, la poésie et la musicalité de Benoît et La Lune ! Un univers fait de féérie où tout concours à amplifier cet état : les sonorités, l’ambiance, la scénographie, le graphisme …

Après avoir composé pour le cinéma et la danse, Benoit Berrou nous livre avec Benoit & la Lune, une décharge d'émotions revêtues de folk, de rock et d'instruments à cordes... Il nous fait partager sa vision très personnelle de la chanson : des parties instrumentales qui nous emmènent aux confins de la réalité, des textes poétiques et des chants incantatoires dans un langage que lui seul connaît... L'idée est de donner corps à un univers très personnel, dans lequel les instruments à cordes (guitares, ukulélé, violon) ont une grande place. Une musique qui invite au voyage, le propos est sincère, Benoit s’y livre en métaphores. C'est ainsi qu'on retrouve dans Benoit & la Lune, ses goûts pour les instruments à cordes, la folk, le rock et les musiques de film.

Ses textes sont majoritairement écrits en français, parfois en anglais ... mais Benoit utilise très souvent un langage que lui seul connaît. Un langage imaginaire qu'il inventa lorsqu'il était enfant, afin de parler aux étoiles... Vous avez dit lunaire ?

Depuis 2012, c’est en trio qu’il décide de se produire oubliant la formation plus imposante des débuts. Avec Bruno Desbiolles, batteur talentueux ayant fait ses armes auprès de Gilles Choir. Il multiplie ses aptitudes pour également assurer guitares et harmonies vocales au sein du projet.

Manu C, guitariste éclectique se joint à l'aventure quelques mois plus tard, il apporte une énergie supplémentaire de par son jeu très influencé par le flamenco et la musique Sud Américaine en général. Julie Régimbart, violoniste au jeu sensible et mélodique, ajoute au projet douceur et lyrisme...

Grand gagnant du Purple Idols 2012, finaliste du tremplin Zic me up 2012, élu « meilleur chanteur » du concours Emergenza, il a partagé la scène avec, entre autres, Yodelice, Revolver, Hugh Coltman, Alexandre Kinn et Sanseverino…

Benoit & la Lune et son ukulélé électrique ne laissent pas indifférents, alliant folk aérienne et rock noisy, cet artiste étonnant nous emmène dans un monde à son image, puisant ses influences entre Yann Tiersen,  Sonic youth, Jorane, Kronos quartet, Noir Désir, Alice in chains, Arvo Pärt, Jeff Buckley, Nine inch Nails, Tori Amos, Tom Waits ...


Après la sortie de 2 EP écoulés à plus de 3000 exemplaires, Benoit et ses musiciens, se lancent dans la conception d’un premier album qui promet de belles surprises comme ce duo mystique avec l’incroyable chanteuse Australo-scandinave Inga Liljëstrom.
Suite à leur tournée au Sénégal (Festival Jazz à Dakar), Paris (l’Alhambra) puis le Luxembourg, ils ont présenté leurs nouveaux titres lors d’une série de concerts dans la région PACA."


Pour le 2ème Festival des Urbains de minuit, Benoit et La Lune sera en concert à la Zonmé lors de l’ouverture le 15 octobre,  partageant la scène avec un autre ovni : le Barizone Comedia Orchestra !

Benoit Berrou (songwritting, guitar, ukulele and voices)
Bruno Desbiolles (drums, guitar)
Manu C (Guitar)

« Benoit & la Lune, c'est la promesse d'une évasion musicale hors du commun » ...

 Mervyn L.

 

Propos recueillis par MC Zic Zac

www.benoitetlalune.com

https://soundcloud.com/benoit-berrou/benoit-la-lune-live-part-2

https://www.facebook.com/benoitetlalune

 

MC di Martino Dhoste aux Urbains de Minuit

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La Constellation de Narcisse

Une constellation pour Narcisse   

Se perdre...

On peut se perdre avec des cartes, des GPS, des itinéraires établis. Se perdre c'est se dépouiller, lâcher prise, oublier le centre ou son centre pour la périphérie. Se perdre pour se retrouver, le seul moyen. Se perdre c'est le propre de l'enfance, redevenir enfant, œil neuf, régénéré.

"L'enfance de l'art" l'expression reste énigmatique, mais l'on sent de suite ce que cela veut dire. Enfant, tu peux te perdre dans 10 m carré, dans une histoire ou dans ta tête, quelle importance.

(labyrhinte de la cathédrale de Chartres)

...tourner en rond, suivre des pistes infinies

Les petits garçons n'ignorent rien des pistes d'indiens dans les bacs à sables. Les vieux bigots dans les villages de l'arrière-pays ignorent que leurs processions aux escargots ou autres limaces sont des rites volés aux païens. Les musulmans tournent autour de la Kaaba... ils tournent en rond autour d'un carré...pierre noire tombée du ciel...Les moines gyrovagues n'avaient pas d'attache et prêchaient la bonne parole à qui voulaient l'entendre jusqu'à ce que Saint Benoit y mit bon ordre.(1)

Mieux encore les aborigènes australiens, ainsi l'explique Bruce Chatwin dans "le chant des pistes" (2) suivent des song lines ou pistes chantées. Ils vont de lieux sacrés en lieux sacrés grâce à ce que leurs révèlent leurs chants sur la topographie de leur territoire. Il peuvent le traverser sans jamais se perdre, à condition de ne jamais cesser de chanter leurs pistes, marabout, bout-de-ficelle, selle-de-cheval.

Que dire des hétérotopies de foucault(3), des lignes de fuites ou rhizomes, de Deleuze(4), des théories de la dérive ou psychogéographies de Guy Debord qui avait coutume de errer sans but dans Paris et s'y laisser imprégner.

 

les pistes de Guy Debord...

Pour ma part, urbain peut-être, si l'on me reconnait comme tel, je suis très attaché à mes arrière pays. Arrière pays, paysage autant physique que mental. Lorsque je reviens chez moi, je ne vais plus dans les villages, mais je tourne autour d'eux, sur les petits sentiers-lignes de fuites pour me perdre et me retrouver et me perdre encore. Ces chemins-là ne sont pas entretenus et j'en ressort souvent lacéré par les ronces et les épineux qui dessinent à leur tour des lignes sur mes jambes et des pistes sur mes bras.

§

 

Tourner en rond, en carré, se perdre, suivre les étoiles, chasser les lucioles, les petites lumières aux pourtours de la nuit. Il aurait été simple pour les Urbains de Minuit de trouver un lieu, un seul lieu d'exposition,  un lieu bien central, facile d'accès, trouver des subventions, négocier...

à la question "pourquoi plusieurs lieux à la place d'un seul ?" on m'a répondu "tout est là "

Il faut laisser les révélations pour ce qu'elles sont ( "apocalypto" en grec) et ne pas trop se demander d'où cela vient, ou bien se choisir arbitrairement une explication qui convient pour en changer à tempérament histoire de ne pas trop  fixer les vérités.

Petite apocalypse tranquille de 7,7 kilomètres en 11 heures, les agités des nombres y verraient des signes et c'est leur droit, les autres peuvent y voir ce qu'ils veulent à condition de cheminer, s'arrêter, revenir sur leurs pas, rebrousser chemin, faire une pose, se perdre, s'écarter un temps du chemin pour revenir, "le temps du rêve" comme disent les aborigènes."Compagnon d'un tour de Nice". S'inventer de toutes pièces une mythologie, comme ce Narcisse, mi-Saint mi-païen. Ce Saint Narcisse est en tout cas un Saint Pontife, il construit des ponts, passerelles entre les gens, les idées, les folies, les hommes, c'est une pérégrination qui lui est consacrée. Mais oh miracle, il ne demande rien en retour, aucune dévotion, aucun tronc d'église, aucune quête, sinon une quête d'émancipation.

Pouvoir est donné à l'imagination, la mienne, qui n'est pas la votre, et c'est très bien comme ça, a vu dans l'image du "     parcours de Santé artistique      " une constellation, étoiles, lueurs, lucioles(5) liées entre elles et formant un récit mythique, un légende à laquelle je n'ai pas donné de nom.

A chacun d'y voir ce qu'il veut, pourvu que ces lieux, ces lucioles éclairent encore et survivent.

 

F.L.

(1) http://fr.wikipedia.org/wiki/Gyrovague

(2) "le chant des pistes", Bruce Chatwin, Livre de poche

(3) http://youtu.be/RC7qhps2HMM

(4) Gilles Deleuze "Milles plateaux", Minuit

(5) Georges Didi Huberman "survivance des lucioles", Minuit http://www.lesurbainsdeminuit.fr/coups-de-coeur-et-autres-coups?ac_id=55

Mots clés : #saint narcisse
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Saint Narcisse 2013

 

Les Urbains de Minuit fêtent la Saint Narcisse

 

du 15 au 29 octobre 2013

 

à Nice 

 

Il était une fois une deuxième fois : les Urbains de Minuit, exponentiels et incontournables, sont là, et Saint Narcisse avec eux.

Pendant 15 jours, du 15 au 29 octobre, nous fêtons notre premier anniversaire avec notre premier Festival, au 7 rue des Combattants en Afrique du Nord, au cœur de la cité. L’Atelier le Salon et la Zonmé ouvrent leurs portes, murs, cuisines, et dépendances, à une trentaine de plasticiens, musiciens et autres grandes gueules, au grès d’une programmation forcément plastique. Le 29 octobre, les hôtes de la ville nous/vous invitent,  dans un formidable esprit de fête et de partage, à inventer de nouvelles rencontres, musiques, performances, improvisations et autres déclamations, le tout à peu près simultanément sur quinze lieux.

Ouverure le 15 octobre : grand vernissage de l’exposition collective et concerts, toutes les dates sont à suivre sur la page FB https://www.facebook.com/lesUdM et sur le site des Urbains, qui va pour quelques semaines se vouer à la présentation de la scène  artistique et humaine locale, donnant plus de visibilité  à une ville de Nice, certainement pas off, mais  officieuse, d'une beauté ébouriffante et ébouriffée aussi.

TOUS les Urbains présents dans la page "portraits" du journal participent à la fête et bien plus encore, parce que les Urbains, c'est vous et c'est nous, tous ceux qui font que cette ville reste vivable merci merci c'est une urgence, alors nous voici :

Perla Babe pour l'atelier Le Salon, Pascal Cadaré pour La Zonmé, Michel Warzee et Jean Louis pour le Transformer, Manu Linarès pour la Cave Romagnan, Laurence Shukor pour le Hi Hôtel, Chicco Beiso, Olivier Garcin, Bertrand Petit pour Vin de Terre, Roxane Petitier, Benoît Encadrement, Thierry Pallanzi pour "La Friche", la Compagnie Antipodes, Mauro Alpi, Lorenzo Biaggi, Catherine Cattaneo, Sophie Perrone, Pascale Allegret, Véronique Roussiaux, Anne Sophie Viallon, Gabriel Fabre, Denis Gibelin, Toma Tibouville, Gilbert Caty, Jean Louis Chinaski, Jean Christophe Bournine, Christopher Brocardo, Bart No Art, A.Jam, Barizone Comedia Orchestra, Benoît et La Lune, M.C Di Martino-Dhoste, Véronique Didier, Fafé, Sophie Taam, Washing Majazz, Ninety's Story, Hélium, Virginie Broquet, Johanna Piraino, Ruth Levy Benseft, Philippe Gourdon, Frederic Ceasseau, François Lizé, Jeffrey Hessing, Angélique Aveillan, Brigitte Pons R, Jackie Perreau, Marc Cecchinel, Gérard Berizzi, Alexis Gourdon, Claire et Thierry, le Ketje, Anaïs Gruette, Linda Garcia, Carolle Gaillac, Jean Luc Gergonne, Gaël Navard, Magali Halter, Maia Beyrouti, Alexandra Guillot, Anne Sophie Viallon, Camille Giuglaris, Florence Cartoux, Charlie Chine, Alexandre Capan, Popcube, Robin Decourcy, Olivier Roche, Carole Couillaud, l'Atelier du Dahu, Jacques Schaeller, Virginie Broquet, Gilles Miquelis, Sonia Grdovic, Vincent Vini, Julien Hayot, Gilbert D'Alto, Azurprocom', Sonicetweet, Mickael et David Miglior, Verana Costa, Augustin Dupuy, Marie Annick MTRK, Gérôme Avecungé, last but not least ...

Le programme en détail dans les jours à venir, et si vous voulez déjà faire connaissance, ouvrez vos mirettes et cliquez par là
http://www.lesurbainsdeminuit.fr/portraits-des-urbains

Première conférence de presse des Urbains organisée le 10 octobre, 17h, Hi Hôtel.

Bien à vous, amis Urbains,

Que vive la Saint Narcisse ! Que vive la Fête des Artistes !

 

 

NB : tous les événements sont entrée libre au chapeau avec adhésion à l’association (no subvention, no sponsor, no institution : only adhésion)

 

 

 

Sonia Grdovic, Présidente de l'Association Les Urbains de Minuit

 

 

 

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Ne vivons plus comme des esclaves (na mi zisoumé san douli en grec)

 

COUP DE PROJO

 

Ceci est un film documentaire, réalisé en Grèce en 2012 et 2013 par Yannis Youlountas.

"Venu des catacombes grecques de l’Europe, un murmure traverse le continent dévasté : « Ne vivons plus comme des esclaves » (prononcer « Na mi zisoumé san douli » en grec). Sur les murs des villes et sur les rochers des campagnes, sur les panneaux publicitaires vides ou détournés, dans les journaux alternatifs et sur les radios rebelles, dans les lieux d’occupation et d’autogestion qui se multiplient, tel est le slogan que la résistance grecque diffuse, jour après jour, et nous invite à reprendre en chœur sur les mélodies de ce film à ses côtés. Un grand bol d’air frais, d’enthousiasme et d’utopies en marche, venu de la mer Égée." Y.Y.

Parce que  «la gratuité est l’arme absolue contre la dictature du profit» (Raoul Vanegeim) ce film est gratuit et à diffuser dans toutes les salles de cinéma et lieux de réunion. Il sera programmé lors de la Fête de la Saint Narcisse, organisée par les Urbains de Minuit, en octobre à Nice.

http://nevivonspluscommedesesclaves.net/

 

http://youtu.be/1wvIGnAPQKc

http://rsf.org/petitions/grece/petition.php?lang=fr

 

 

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Le 2013-06-26 18:23:31 par sonia grdovic
La liberté, c’est très difficile. Parce qu’il est très facile de se laisser aller. L’homme est un animal paresseux. Il y a une phrase merveilleuse de Thucydide : « Il faut choisir : se reposer ou être libre. » Et Périclès dit aux Athéniens : « Si vous voulez être libres, il faut travailler. » Vous ne pouvez pas vous reposer. Vous ne pouvez pas vous asseoir devant la télé. Vous n’êtes pas libres quand vous êtes devant la télé. Vous croyez être libres en zappant comme un imbécile, vous n’êtes pas libres, c’est une fausse liberté. La liberté, c’est l’activité. Et la liberté, c’est une activité qui en même temps s’autolimite, c’est- à-dire sait qu’elle peut tout faire mais qu’elle ne doit pas tout faire. C’est cela le grand problème de la démocratie et de l’individualisme.
Castoriadis

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Dossier de presse

 

Le Patriote :

http://www.le-patriote.info/index.php/culture/279-narcisse

Nice Premium :

http://www.nice-premium.com/cultures-spectacles,1/arts,39/la-saint-narcisse-nouveau-rendez-vous-artistique-a-nice,10512.html

Nice Azur TV :

http://www.nice-television.fr/natvv2/?q=Culture121024#

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